Décarboner ne sert à rien
Décarboner ne sert à rien
Ce texte est conçu comme un exposé dont voici le texte à projeter.
Références
(1) F. Gervais : L’urgence climatique est un leurre, Prévenir un gâchis économique gigantesque. 2018.
(2) Ch. Gerondeau : Les 12 mensonges du GIEC, La religion écologiste – L’écologie contre le développement, 2022.
(3) Clintel (Climate Intelligence) : https://clintel.org/
Déclaration signée par 1500 scientifiques : https://clintel.org/world-climate-declaration/ En voici le résumé :
Le climat a toujours varié. Le réchauffement n’augmente pas comme annoncé. Les modèles climatiques sont inadaptés. Le CO2 est utile pour la végétation. Le réchauffement n’accroît pas les désastres naturels. La politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques.
(4) En annexe une déclaration de l’Académie des Sciences de Russie.
(5) Voir aussi : Association des climato-réalistes : https://www.climato-realistes.fr/
Dans ce texte, je n’aborde les aspects politiques également considérés dans les 2 livres cités, que dans les annexes 2 et 3.
Fausses alertes
1. Des ressources prouvées pour au moins 50 ans de gaz et pétrole, et 130 ans de charbon. En plus : gaz de schiste (interdit en France pour pollution, mais acheté aux EU).
Les prévisions de 1972 (Club de Rome) prévoyaient l’épuisement des hydrocarbures en 2000.
2. Les énergies renouvelables ne compléteront que marginalement le gaz/pétrole /charbon. Actuellement 2 %. Au plus 10 % des besoins mondiaux.
Echec des éoliennes en Allemagne qui se prive du nucléaire : on rouvre des gisements de lignite. La branche « éolienne » de Siemens en faillite.
L’électricité ne se stocke pas. La conversion en hydrogène a un très mauvais rendement et l’hydrogène est dangereux.
L’Inde, la Chine, l’Afrique ont des gros besoins d’énergies (la cuisine au bois est source d’intoxications : 4 millions par an, source OMS).
3. Les océans ne montent que de 2 à 3 millimètres par an, depuis 1880.
L’Antarctique ne se réchauffe pas et donc ne fond pas. Au contraire, il s’étend régulièrement depuis 1979 (sauf 2016, El Nino). En 2014 + 20 Mkm2. Les belles images de murs de glace qui s’effondrent ne signifient rien au niveau global.
Les Maldives que l’on prévoyait sous l’eau vont construire 4 aéroports.
Près des côtes, hausses de 1,2 à 1,7 mm par an, selon les régions. Le poids des constructions enfonce le sol dans certains cas : Venise, Djakarta.
Les satellites notent même une augmentation globale des terres, mais érosions dans certains secteurs.
Il y a 10000 ans, des hausses de 4 m par siècle. Le GIEC « prévoit » + 15 mètres en 2300 ! Certains glaciers avancent (NZ, Himalaya), d’autres reculent (Europe).
4. Pas de réfugiés climatiques : le CO2 et la chaleur augmentent les rendements agricoles. Les motifs d’émigration sont politiques : guerres, génocides.
Réchauffements très inégaux depuis 1950 : 0,5 °C aux tropiques, 3 °C au pôle Nord.
La population d’ours blancs est en augmentation (avec limitations de la chasse).
Les pollutions chimiques sont plus nuisibles pour les espèces.
5. Pas d’augmentation significative des ouragans, recensés depuis 1878.
Beaucoup d’inondations en France : 1579 (Paris), 1616, 1875 (Toulouse), 1910 (Paris), 1992 (Vaison la Romaine) : crues « centenales ».
En Chine, en 1931, submersion d’un territoire grand comme la France.
L’importance des dégâts est due à l’urbanisation « imprudente ». Mais on sait se protéger des tremblements de terre.
Variations naturelles du climat et prévisions
Superposition de plusieurs cycles :
60 ans, « cycle océanique », les températures sont archivées depuis 1780. Corrélé au niveau des océans et à la surface de la banquise (mesurés depuis 1900).
200 ans, identifié par des isotopes, les dates de vendanges, les productions de blé, les troncs d’arbres etc.
11 ans : taches du soleil : Absence de taches 1650-1695 = « petit âge glaciaire ».
Voir « Petit âge glaciaire » https://fr.wikipedia.org/wiki/Petit_%C3%A2ge_glaciaire Optimum médiéval : 800-1300, romain : 250 avant J.-C à 400. Froid au 18ième Siècle.
Grande activité : 1940-2015. Minimum possible 2025-2050.
Tendance globale au réchauffement de 0,6°C par siècle. Un maximum en 2000.
Jusqu’en 1975 on envisageait un refroidissement, -3,5°C (un nouveau « petit âge glaciaire »). Réchauffement 1915-1945 et faible augmentation de CO2, 11ppm ; refroidissement 1945-1975 mais CO2 + 21 ppm ; réchauffement 1975-2005 avec augmentation de CO2, 48 ppm. Pas de corrélation claire sur cette période.
La flèche (GIEC) extrapole de façon tendancieuse à partir d’une pente maximale au mépris des cycles. Absence de réchauffement depuis 1998 (GIEC rapport AR5).
Le chaos mathématique des modèles climatiques.
Incertitudes des modèles et prévisions. Les prévisions de réchauffements à la baisse depuis 2000. En 2007 le rapport AR4 annonçait 6,4 degrés.
Prévisions incertaines pour 2100 : entre 1,5 et 4,5 degrés. Aucun progrès dans la modélisation en 40 ans.
Les mesures ne confirment pas les prévisions.
Les « modèles » sont des programmes initialisés par des paramètres. D’infimes variations donnent des résultats très différents. Un test avec le même programme a donné 30 simulations contradictoires.
Accusé levez-vous !
Gaz à effet de serre.
La concentration de CO2 dans l’atmosphère est passée de 0,032 % en 1960 à 0,038 % en 2010. Qui peut croire que cela influe sur le climat ?
Le principal GAES est la vapeur d’eau, de 2 à 5 %. Sans elle la moyenne des températures serait de – 18°C au lieu de + 15.
Le méthane (les vaches!) a peu d’effets : sur 30 ans, +0,03°C.
Le CO2 est indispensable à la végétation. Les déserts reculent (NASA).
En 33 ans, la surface végétale du globe a augmenté de 18 millions de km² soit 33 fois celle de la France (Nature). Les horticulteurs enrichissent leurs serres en CO2.
Les concentrations montrent de légères variations saisonnières : diminution au printemps à cause du réveil de la végétation.
Les augmentations de CO2suiventde 6 à 11 mois les augmentations de température, d’après des relevés depuis 1980. Les épisodes El Nino de 1998 et 2016 le confirment. Cause : les eaux chaudes dissolvent moins de CO2 que les eaux froides. (Masquées par des moyennages dans les rapports GIEC).
L’étude des carottes glaciaires (sur 400 000 ans) ne montre pas de corrélation entre température et CO2 sur le long terme.
Par satellites. Les capteurs au sol sont placés près des villes et des aéroports, ce qui fausse les mesures. Pas de réchauffement depuis 1998, malgré 60 % des émissions industrielles comptées depuis 1960.
Les faits ci-dessus contredisent les affirmations du GIEC publiés dans les rapports SRREN de 2011 et AR6 de 2022 et reprises par les médias et les politiciens.
Le GIEC est un organisme politique. Les « synthèses destinées aux décideurs » effacent toutes les nuances et incertitudes des textes scientifiques.
Plus de 95 % des articles scientifiques (revues spécialisées) doutent du lien entre température et CO2 ou le contestent. Ces articles sont négligés au profit de l’alarmisme.
Une pétition signée de 500 physiciens adressée à l’ONU en 2019 contre les falsifications du GIEC est restée sans effet.
Un exemple de mensonge avoué après 14 ans : Benjamin Santer « scientifique respecté » mais qui a publié de fausses données (son université est payée par Rockefeller).
https://youtu.be/MRKLpHWQgrA?si=nN1BTEZeqX4rS6C6
Annexe 1 : Le Conseil scientifique de l'Académie russe des sciences a réglé le problème de l'escroquerie climatique.
L'Académie des sciences a rendu sa décision : les processus climatiques mondiaux et locaux n'ont aucun lien avec les Humains, désigner la responsabilité anthropique contredit complètement les observations scientifiques.
La principale raison du réchauffement de l'océan et du réchauffement de la Terre est l'élimination (fluctuante) de l'isotope de potassium du noyau terrestre. La puissance de ce flux de chaleur est de 1 Watt par mètre carré, soit le quart du flux de chaleur du rayonnement solaire. Ceci possède une influence de plusieurs ordres de grandeur supérieurs à l'impact humain, alors que l'humanité tente de combattre ce réchauffement au prix d'énormes coûts sans véritables résultats.
À son tour, la principale cause des catastrophes climatiques locales est l'émission croissante d'hydrogène naturel sous l'influence des forces d'attraction changeantes de la Lune et du Soleil, ce qui génère des trous dans la couche d'ozone. Ceci désavoue complètement le protocole de Montréal, dont la mise en place a ruiné des secteurs entiers de l'industrie chimique, sans avoir le moindre effet sur la taille des trous de la couche d'ozone, qui n'ont fait qu'augmenter.
Le conseil scientifique a transmis sa décision à V. Poutine, en l'accompagnant de recommandations sur les mesures nécessaires dans le domaine de la sécurité nationale et des relations internationales, en ce qui concerne le protocole de Montréal et l'accord de Paris sur le climat, car ils posent des problèmes économiques stratégiques graves.
L'Académie des Sciences évoquera ce sujet lors d'une conférence internationale sur le climat en septembre aux Emirats Arabes Unis.
La tendance mondiale actuelle rejetant la responsabilité des changements du climat sur les activités humaines conduit à des restructurations économiques mondiales et à des crises énergétiques.
Le président du Conseil Scientifique de l'Académie des Sciences de Russie, l'académicien Sergey Glazyev. https://t.me/glazieview/3414 (des détails scientifiques sont fournis dans les publications qui suivent) https://t.me/colonel_cassad/112119
Annexe 2 : Aspects politiques de l’arnaque climatiste (B. Courcelle)
Il y a une analogie avec l'arnaque covid qui est maintenant évidente et reconnue partout ailleurs qu'en France:
confinements délétères pour les familles et les entreprises,
pseudo-vaccins nuisibles basés sur une pseudo-science mafieuse,
censure des vrais médecins.
Pour la "décarbonation", c'est pareil :
décisions visant à « carboniser » l'industrie (les PME), l'agriculture (notamment l'élevage), le tourisme et à limiter drastiquement la possession d'automobiles, basées sur des théories scientifiques largement contestées,
censure des scientifiques qui apportent des arguments hostiles à la doxa, y compris des prix Nobel de physique.
Ce qu’il y a derrière ces deux arnaques, c'est un projet totalitaire visant à détruire la souveraineté des États (OMS, FEM, GIEC) donc des peuples, au profit d'une caste politique et financière soutenue par les idiots utiles, du spectacle, des médias ainsi que par des scientifiques vendus au « Grand Capital ».
On pourrait y ajouter la destruction de la famille et des enfants : promotion des transgenres et de la pornographie scolaire, ainsi que de toute forme d’autonomie personnelle : obligations vaccinales, lutte fiscale contre la propriété foncière, lutte contre les automobiles (malus « écologique », voitures électriques, ZFE, radars etc.) et les voyages en avion.
Nota Bene: Je n'ai rien contre les économies d'énergie (isolation des bureaux), la lutte contre les pollutions et les pesticides nuisibles etc. J'en ai contre la manière autoritaire et racketteuse d'imposer ces mesures. Voir aussi le blog : https://climatorealist.blogspot.com/
Annexe 3 : Comment les banquiers mondialistes ont imposé le réchauffement climatique anthropique
Je reproduis la conclusion.
Où en sommes-nous en 2022 ?
Après des décennies de propagande, le dogme du dérèglement climatique s’est infiltré dans la population mondiale. Le consensus scientifique est devenu l’argument principal et évite tout débat qui aurait pourtant dû se tenir depuis longtemps. Le talon d’Achille de ce dogme est justement le but financier qui impose l’activité humaine comme unique responsable, déniant ainsi tous les effets, pourtant prépondérants, de la Nature, à commencer par les cycles de l’activité solaire et de l’évolution de l’orbite terrestre.
Connaissant la fragilité de l’argumentation et son manque de rigueur scientifique, les promoteurs de l’idée ont utilisé leur influence afin de la rendre légale, à défaut de réelle.
C’est probablement de là que s’est fait le choix religieux, le dogme étant plus facile à imposer que la conviction basée sur l’étude scientifique. Mais la médaille possède son revers.
Comment ne pas relier les événements qui se déroulent aujourd’hui aux conséquences des décisions prises lors de la fondation de la World Conservation Bank (son nom sonnait probablement trop « capitaliste » ; elle fut rebaptisée Global Environment Facility en 1991) ? Ce sont elles qui poussent aujourd’hui un nombre de pays de plus en plus grand vers ce qui s’appelle aujourd’hui un nouvel ordre mondial, basé non plus sur l’hégémonie du dollar, symbole de la toute-puissance de la finance mondialisée, mais sur une régionalisation autour des continents qui respecterait à la fois l’indépendance et la souveraineté des nations. Trop de pays ont été victimes de la cupidité de cette élite mondiale qui a cru pouvoir s’enrichir d’une manière démesurée en utilisant la peur et l’intimidation, qui sont davantage des moyens mis en œuvre par des maffieux plutôt que par des gens qui se disent soucieux du bien-être de l’Humanité.
Livres "climatosceptiques"
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